A sa création, sous le second empire en 1859, le quotidien Le Progrès n’est tiré qu’à quelques centaines d’exemplaires et est imprimé dans les sous sols d’un hôpital lyonnais, puis quelque années plus tard dans les locaux d’un théâtre désaffecté. De novembre 1942 à septembre 1944 il cessera toute activité. A la libération, il ne subira pas le sort de la plupart des quotidiens régionaux français qui furent interdit de parution et durent changer de nom. Le Progrès sera autorisé à paraitre à nouveau sous le même nom.
Le journal Le Progrès titre de nos jours à plus de 800 000 exemplaires et est largement diffusé dans le Rhône et les départements alentours.
S’abonner au Progrès
Les différentes formules
Les abonnements uniquement numériques sont sans engagement. Le règlement se fait mensuellement. Ils peuvent donc être résiliés par l’abonné quand bon lui semble, sans frais.
Les abonnements mixtes (numérique+papier) sont avec engagement pour une durée de 3 à 12 mois. L’abonnement est donc payable intégralement en une seule fois à la signature du contrat puis à chaque renouvellement automatique.
Peut-on suspendre ou transférer l’abonnement ?
Si vous partez en vacances plus de 5 jours à suivre, vous pouvez faire transférer votre journal papier sur votre lieu de villégiature. Pour que cela se fasse dans de bonnes conditions, vous devez en faire la demande au service clients du Progrès au minimum 2 jours ouvrables avant.
Vous avez le droit de suspendre votre abonnement pour une durée de 3 jours à 3 mois. A condition d’en aviser le service clients au moins 2 jours ouvrables avant. Le montant correspondant au journaux non-reçus sera déduit du montant de la facture du renouvellement suivant.
Résiliation, mode d’emploi
Quel que soit le type d’abonnement que vous avez souscrit, sa résiliation se fera par courrier recommandé avec accusé de réception. C’est le seul moyen qui permette de pouvoir prouver sa bonne foi en cas de litige. Bien evidemment une demande de désabonnement ne se fait pas n’importe quand ni n’importe comment. Vous trouverez toutes les explications nécessaires ci dessous, en fonction de votre contrat et de certaines situations particulières.
Si c’est un abonnement sans engagement
Vous pouvez vous désabonner sans contrainte de temps, si ce n’est le prévis d’un mois qui est prévu. Mais cette demande peut être formulée n’importe quand.
Si c’est abonnement avec engagement
Dans ce cas vous ne pourrez vous désabonner qu’à la date de fin de période. Le journal à l’obligation légale de vous aviser de la date de fin de contrat et de sa tacite reconduction afin que vous puissiez résilier (ou pas), en connaissance de cause. Cet avis doit être fait par écrit entre 3 mois et un mois avant la date butoir. Si par exemple votre abonnement est d’une année et a été conclu le 1er août, vous devez recevoir l’avis entre le 1er mai et le 1er juillet de l’année suivante. Ce qui vous donne le temps de résilier par lettre recommandée avec accusé de réception.
Résiliation pour motif légitime
Si pour une raison imprévue, le particulier abonné venait à ne plus pouvoir bénéficier de son abonnement au Progrès, il pourrait résilier et se faire rembourser les sommes versées au prorata de la durée d’abonnement restant. Ou bien être dispensé de payer les échéances restantes, (s’il est mensualisé). A la condition que le souci personnel qu’il rencontre corresponde à l’un des cas énumérés dans les conditions générales d’utilisation du journal Le Progrès, c’est à dire :
Le décès de l’abonné, bien sûr qui doit dans ce cas faire l’objet d’une notification au journal de la part des ayants droit.
Incarcération.
Perte d’emploi, s’il s’agit d’un CDI.
Dépôt d’un dossier de surendettement ayant reçu une notification de recevabilité par la commission de surendettement.
Hospitalisation de plus de 3 mois.Arrêt maladie de plus de 3 mois.
Faillite, liquidation ou redressement judiciaire.
Déménagement hors de la métropole dans une région ou il est impossible d’assurer la continuité du contrat.
Le droit de renonciation
Il est stipulé dans les articles L221-18 et suivants du code de la consommation. Il n’est opposable que durant 14 jours calendaires. Et commence à courir à compter de la réception du premier exemplaire à domicile, pour les abonnements papier. Ou bien à compter de la signature du contrat, pour les abonnement numériques.
La renonciation sera signifiée au service client du journal le progrès (adresse ci-dessous) par lettre recommandée avec accusé de réception. En y citant les articles du code de la consommation susmentionnés et en exprimant clairement la volonté de se rétracter. Il est aussi possible de copier la lettre type présentes dans les CGU.
Adresse de résiliation du journal Le Progrès
Que votre demande concerne le le droit de renonciation, ou une résiliation, il devra être expédié au service clients à Lyon, à cette adresse.
Journal le Progrès
Service clients,
4 rue Paul Montrochet.
69 284 Lyon Cedex 02
Exemple de lettre de résiliation
Afin de vous aider dans votre démarche, nous vous autorisons à recopier ou à vous inspirer du modèle ci-dessous. Vous y mentionnerez vos coordonnées (nom, prénom, adresse et mail). Et l’adresse du destinataire avec la date de rédaction. En référence, vous indiquerez votre numéro de contrat ou d’abonné.
En ce qui concerne les délais et le calcul des dates à mentionner, nous vous invitons à vous reporter à nos explications ci-dessus.
Objet : Résiliation de mon abonnement au Progrès.
Références : xxxxxx
Madame, Monsieur,
Par cette lettre recommandée avec accusé de réception, je vous avise de ma demande de résiliation de mon abonnement au Progrès. Les références sont précisées ci-dessus. Et ce, à compter du (mentionnez la date de résiliation).
Le cas échéant, vous mentionnerez aussi : Je vous remercie par avance de bien vouloir annuler l’autorisation de virement SEPA et de cesser tout prélèvement.
Formule de politesse et signature de l’abonné.